PREPA MARATHON DE PARIS A MINIMA, EPILOGUE...
Janvier : 2 X 1 H
Février : 2 X 1 H (toutes les séances de janvier-février interrompues par de la marche dû à des douleurs lancinantes au talon et genou)
9 Mars : 1 marathon couru/marché en 5 H +
22 Mars : 10 km en 1 H, couru non-stop
27 Mars : 15 km, 1H40, marche forcée à partir du 8 éme km. Impossible de poser le talon au sol le lendemain au réveil. Après 10 min, la marche devient possible. La douleur revient sur la talon, à chaque prise d'appui après être resté assis ou allongé quelques minutes.
31 Mars : 1H05 ininterrompu. 76,5 kgs au réveil.
1er Avril : 1H10 ininterrompu; 75,7 kgs au réveil. Trés lent, accélération quasi-impossible, chocs talon trop douloureux.
3 Avril : 17 km en 1H40, sortie "longue" pour faire du kilométrage et réduire le poids. Douleurs continues. 76,2 kgs au réveil.
Objectif marathon de Paris: entre 4 et 5H.
Résultat: 4H36
Donc 10 sorties sur un durée de 14 semaines, le plus souvent interrompues par des douleurs lancinantes au talon et sous la voute plantaire, aujourd'hui mystérieusement disparues, mais peut-être seulement dissimulées par les courbatures ou d'autres douleurs plus importantes.
Ce sujet ne veut rien prouver sauf que pour un marathonien expérimenté, renoncer à une épreuve peut-être un crève-coeur,et que l'expérience peut surmonter un manque conséquent d'entrainement et le faire avancer vaille que vaille jusqu'à l'arrivée.